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l n’est pas évident d’évaluer la notion de réputation : quels sont les obligations du succès ? à partir de quel stade de médiatisation peut-on être considéré comme une « star » ? D’autant plus que la popularité en tant qu’objet d’étude recouvre plusieurs dimensions. Il est ainsi difficile de savoir que facteurs sont déterminants dans l’apparition d’un malaise chez quelqu’un connu : est-ce le trop plein d’attention sociale ? l’ampleur des délicats négatives ? l’obligation de « se tapir » toujours pour l’éviter aux fans ? l’alternance d’effets glorieux et de situations plus bien-être ?

tous les encore adolescents rêvent-ils de notoriété ? Beaucoup, en tout cas, conformément le psychiatre et psychanalyste J. -D. Nasio, auteur de Mon corps et ses oeuvres ( Payot, 2007 ) : « Ce libido se manifeste plus confortablement chez eux, car il est souvent gorgé par la recherche d’identité. Le jeune nécessite de la reconnaissance des autres pour savoir qui il est toujours plus, alors que les personnes mûres n’ont pas besoin d’être connues pour se sentir pertinents. » La véritable question qui vit est celle du passage à l’acte. « Je ne suis jamais assemblé sur podium, mais je suis devenu un sociologue reconnu, qui continue à désirer la renommée, avoue François de Singly. Il y a donc eu un renvoi. Rêver de renom à 15 ans, c’est peut-être avoir des chances d’être apprécié, peut être dans l’autre secteur, à 40 ans… »

Amanda Seyfried ( Mamma Mia !, Time Out ), en psychothérapie pour accès d’angoisse après sa soudaine réputation. Kirsten Dunst sélectionnée par Lars von Trier pour incarner l’héroïne dépressive de Melancholia, « étant donné que le sujet lui était savoir ». Carrie Fisher ( Star Wars ), bipolaire officiel, comprenant la publicité des électrochocs dans Shockaholic, sa dernière biographie… Depuis peu, la liste des personnes célèbres qui avouent leurs bobos psys se remplit au minimum aussi vite que la salle des thérapeutes qui les touchent. « Nous connaissons tous un coup de déprime, à un moment ou un autre. Mais nous avons généralement humiliation d’en parler. Je ne jugerai une personne qui traverse ce style de passage à vide », a ces temps derniers jurat Kirsten Dunst au guide Flare, 3 ans après son vacance à la clinique Cirque Lodge où elle avait été supposée pour dépression. Lindsay Lohan et Eva Mendes l’y avaient précédée.

Et si d’aventure la rédaction de la 1ère projection est fragile, la démesure de ce qui est suspendu peut être fatale. S’y discerner est faire recueil avec Dieu. Et la souffrance terminal surgit alors que ruminer terre, à l’instant de la retranchement qui conduit l’être à ne devenir apparent que comme un perte. Il réalise que le mirroir de l’univers est un appât, et que l’image qui s’est réalisée par le regard de l’autre-monde est un fantasme collectif, une caprice. Alors, comme un dingoes se dessaisit de son mirage, il chute de son base lunaire et morose dans un modèle inquiétant de apocalypse. Celui qui tient du monde n’est plus, et tout s’effondre avec lui.

Ça fait quoi d’être une ? «Un désavantage fou», répliquait Brigitte Bardot en 1962 dans «Vie Privée». Ophélie Winter pourrait aujourd’hui gripper le but. Depuis 60 jours, les images de la descente aux enfers de la chansonnière star des années quatre-vingt-dix font la une de la presse readers. Sans lieu, criblée de dettes, la gloire élan dans les rue parisiennes, écumant les chambres d’hôtel de la paris. Comment une chanteuse abondant a-t-elle pu se regrouper dans cette situation en à peu près quelques années ? Contactée en direct dans l’émission de Cyril Hanouna, l’interprète de «Dieu m’a donné la foi» a révélé quelques indication : «C’est pas l’éclate, mais tout est de ma faute. Quand tu te fais fringuer ou quoi que ce soit, le premier dénominateur commun, c’est toi».

Revers de la évaluation de ce rêve d’irresponsabilité extravagante : la Schadenfreude – le bonheur que nous puisons des infortunes d’autrui. Depuis quelques temps, la presse scandaleux s’intéresse de plus en plus aux vedettes qui perdent les pédales. Le coup de amourette de Charlie Sheen succède aux fiasco de Britney Spears, Mel Gibson, Tiger Woods, et de loin d’autres qui se sont couverts de dégradation dans les pages des tabloïds. Lorsqu’une personne généreux et connu se plante, alors nous nous sentons supérieurs – ou un peu, un peu moins inférieurs. Votre vie est un enfer ? Certes, mais ce n’est vraisemblablement rien intégré à ce que traversent Lindsay Lohan ou Brett Favre. Et depuis l’invention de la téléréalité, nombre de personnes célèbres ne peuvent même plus se bercer d’être meilleures que vous.

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